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Tous les passionnés de danse contemporaine devraient voir
ce solo dansé et chanté par sa créatrice, la parisienne Isabelle Barbat.
La scène dans le plus grand dénuement renforce l’éclairage
qui est ici utilisé au meilleur des possibilités
Le corps d’Isabelle Barbat est un instrument éblouissant de
mouvement. Son habilité, sa grâce, sa force dévoilent l’essence primordiale et
la chorégraphie semble presque irréelle tant la danseuse est allée au plus
profond de l’exploration du corps.
La musique fait partie intégrante de ce travail. La
présence sonore d’une unique percussion et d’un quatuor vocal masculin donnent
encore plus de relief aux mouvements de Barbat et à sa propre voix car sa voix
est aussi incroyable et profonde que sa danse. La combinaison des deux fait de
ce travail, une oeuvre chargée d’émotion et de beauté.
Barb Stewart Uptown
Magazine Winnipeg 2003
Isabelle
barbat is an immensely talented dancer. As cascades of gorgeous New Age music,
chanting and martial drumming fill the theatre, she interprets the sounds with
muscular and refined sensitivity. The first half of the show is like watching a
candle flicker; the second is the physical equivalent of an amazing operatic
solo. Her work is both stunning and strange.
Vue Weekly Edmonton 2003
Parisian
artist Isabelle Barbat embraces womanhood to its extremes in Requiem pour une
âme seule. For this movement and music-based piece, the title alone evokes
the feminine mystique.
Barbat
incorporates organ, percussion and chanting into a choreography that suggests
violence, love, birth and rebirth. Her movement (and musicality) is occasionally
athletic, at once a spiritual meditation for the audience. Barbat is an
accomplished singer in her own right, allowing classical and jazz influences to
flow into her movement, including Maurice Ravel’s “Kaddish” and a traditional
version of “Motherless Child.” But Barbat draws no gender lines.
“Man or woman
doesn’t matter,” says Barbat. “There is no identity. Or rather, there are all
sorts of identities.”
David King See Magazine Edmonton 2003
Riveting,
almost violent abstraction – who could have anticipated such an electrifying
rush ? Parisian choreographer and dancer Isabelle Barbat explores unnameable,
unquantifiable spaces, experiences that only poetry, in whatever form, can
evoke. Her catalogue of imagery, which, like a children’s song, accumulates new
phrases every time she repeats it, speaks simultaneously to supposed opposites.
Her body
tightly framed by the dimensions of the simple yet monumental flat that is only
set piece, she writhes, evoking all of the ecstatic sensuality and pain of
martyrdom. Images of sexual ecstatic overlap with the brutality of childbirth,
and the experience of familial union becomes even more melancholy when she sings
“ Sometimes I Feel like a Motherless Child ” in her stunning mezzo-soprano.
Barbat’s exploration of physical space moves from corpselike stillness through
trembling vertical aspiration to fierce territoriality. Open yourself and let
her reconnect you with the suffering and beauty of daily existence.
Colin Thomas
Georgia Straight Vancouver 2003
La longue liane noire
C’est un serpent, une araignée, un monstre ténébreux qui se
ploie, se délie, sur la scène nue du théâtre du Petit Louvre. C’est une voix
chaude, envoûtante, ensorcelante qui s’amplifie et nous emporte. C’est un objet
chorégraphique non identifié qui nous rappelle les performances underground
new-yorkaises.
Isabelle barbat est le corps et la voix d’une prêtresse, initiatrice d’un
rituel mystique. C’est une ascète qui pratique son art avec une concentration,
une précision qui force le respect.
Le spectacle est exigeant pour elle et pour le spectateur.
Ce n’est pas ce qu’on appellerait du spectacle populaire. Il y a la danse
contemporaine version Carolyn Carlson, la grande dame des images corporelles
teintée d’une spiritualité zen, new age !
Ce n’est pas un spectacle pour le plaisir mais pour
l’émotion. C’est un requiem, un chant des lamentations devant le mur. Mais
quelles lamentations : « les chants désespérés sont les chants les plus
beaux » dit le poète.
Et quand à la fin du spectacle, elle s’approche de l’unique
enfant du public pour chanter rien que pour elle une sublime version de « Motherless
Child » son visage tendu d’âme seule s’illumine et devient d’une douceur
émouvante.
ALLO CARPENTRAS WEBZINE
2005
 dessin Isabelle Barbat
REQUIEM POUR
UNE AME SEULE
Vouloir
mettre des mots sur des choses vivantes, c'est assurément vouloir les tuer. A
moins que de savoir l'entreprise impossible. Heureusement.
On perd vite
le fil de ce que l'on a éprouvé, on perd surtout le chemin qui nous y ramène.
Autre entreprise vouée à l'échec.
J'y vais
quand même, au sacrifice.
Commençons
par la réalité matérielle.
Requiem pour
une âme seule
est d'une grande beauté formelle. J'entends par là que, comme pour la
composition – réussie - d'un tableau, tout est à sa place. Rien ne peut être
ajouté ou retranché. Ce qui est rare, très rare.
Rare aussi
de trouver des pièces où les moments de transition n'existent pas en tant que
tels, où "ça" continue toujours à respirer, à vivre. L'espace entre deux notes,
entre deux mouvements est trop souvent considéré comme un silence, comme une
pause. Pour moi, c'est souvent là ou "ça" se passe. Avec ce requiem on est
comblé.
Pour
continuer sur la technique, il me faudrait le revoir, mais ce n'est pas le plus
important. C'est juste nécessaire.
Requiem pour
une âme seule :
cruel comme la beauté d'une fleur est cruelle. Offerte à tous, regardée par peu,
sa beauté possède une force immense malgré sa fragilité, sa vulnérabilité. La
mort est toute proche, possible à chaque instant mais n'amoindrit en aucun cas
la force de cette beauté. Bien au contraire. Cette cruauté s'adresse de toute
évidence à notre pauvre condition humaine. Je soupçonne que l'une fabrique
l'autre.
Isabelle
Barbat
nous amène au-delà. Au-delà de l'homme et de la femme, au-delà de la violence du
corps. Et, quand elle a fini elle est dans la douceur. Nous, nous sommes encore
martyrs.
L'autre
soir, lorsqu’elle est venue nous chercher dans une émouvante fragilité en
s’adressant à un enfant, ma fille Ganoulka. Nous étions alors, grâce à elle,
dans la beauté de la fleur.
Marc del Amo Avignon 2005
Un spectacle de danse, d’une
grande plastique et très intériorisé, nous conduit dans une spirale où la
sculpture du mouvement fusionne avec la musicalité d’une contre alto. Parfois
technique, elle s’élève progressivement tout au long du spectacle pour flotter
sur le tapis, accompagnée en cela par des vocalises venant des profondeurs de
l’espace crée. Telle une œuvre plastique évoluant avec légèreté, tout en
imprégnant l’espace d’un sceau invisible mais perceptible, la voix met la touche
finale à ce sanctuaire mystique d’Isabelle Barbat.
René Louis Pestel Avignon 2005
REQUIEM POUR
UNE AME SEULE
While dance
is usually not the most popular thing on offer at the festival, this little
amuse bouche from France's Isabelle Barbat has much to recommend it. Barbat uses
highly contained and controlled movement to hypnotic effect, lulling her
audience into a state of languorous melancholy which she then sweetens and
soothes with a haunting and bittersweet contralto voice. If it's an oasis you
seek in the midst of the festival madness, this is it. John
Coulbourn TORONTO SUN
2006
We saw
Isabelle Barbat’s opening performance of Requiem pour une âme seule,
and were deeply impressed. She is a formidable talent. With an intensity
that is both fragile and powerful, she creates an extraordinary emotional
space. Seize this opportunity to see a major dance artist and singer.
ArtwordTheatre
Toronto 2006
I
really liked Requiem pour ume âme
seule. It has a
Wagnerian Germanic feel to it with its murky shadowy
lighting. The percussive movement and scuptured form
has sense of repeated isolation loneliness and
spirituality. A multi layered piece indeed.
Ted
Fox Evi-dence CIUT RADIO
In the
opening moments of Requiem pour une âme seule, Parisienne Isabelle Barbat
performs an exercise in the body as pure form. She rises from the floor, opening
from a curled-up position like a slow-motion film of a plant growing. Slowly,
she throws her legs over backward and then lunges up like a figurehead on the
prow of a ship. Barbat has exquisitely expressive, long arms, a powerful back
and, when the light finally catches it, a face with sharply etched planes.
The music,
including choral passages, is Arvo Pärt and Gustav Mahler. Under a stark single
floodlight, dressed in a black strappy leotard and wide-legged, full-length
culottes, Barbat is an impressive figure even standing still. And she does stand
still, her back to the audience, to sing — in a rich, fluid contralto — Maurice
Ravel's "Kaddish." We don't see her face until the song is over. It's as if she
is two people, one who dances, one who sings. After an interlude in which she
drops grains of flour in the light to make a snowfall suggestive of a requiem,
Barbat sings again. This time, she turns to face the audience, looking
vulnerable, singing the refrain from "Sometimes I Feel Like a Motherless Child."
Barbat says her solo is meant to express "the humiliation and violence in the
world." This she does with nobility and grace.
SUSAN
WALKER
TORONTO STAR
2006
Parisienne
Isabelle Barbat, in Requiem pour une âme seule, expresses « the
humilation and violence in the world » with nobility and grace.
Une
danse
à
l’écoute
du
corps
La Parisienne
Isabelle Barbat présente son solo de danse intitulé
Requiem pour une âme seule. Dans
son cas, la chorégraphe explique que le langage du corps ne s’inscrit pas dans
un rapport intellectuel à la danse, mais bien dans une double démarche, à la
fois intuitive et empirique, qui lui permet d’être davantage à l’écoute
d’elle-même.
À 46 ans, la danseuse reconnaît ne plus être toute jeune. Elle souhaite
respecter ses capacités physiques et son solo poursuit cette exploration du
corps vu à travers le passage des années.
L’explication de son travail sur
Requiem,
Isabelle Barbat ne souhaite pas la donner, ni ici, ni ailleurs. «Je n’ai pas de
thème à priori. Je propose une œuvre qui n’a pas d’identité propre. Les gens
voient ce qu’ils veulent à travers elle et, ensuite, c’est leur propre histoire
qu’ils racontent», fait savoir l’artiste.
Pour justifier le titre de son solo, la chorégraphe laisse toutefois échapper
quelques pistes. Elle parle d’un côté résolument masculin attaché à sa personne,
de son grand besoin d’indépendance, de la conscience, subséquente, d’être
toujours seule face à l’amour, et, enfin, du sentiment de solitude qui en
découle parfois. Cependant, ces mêmes choses, loin d'être négatives, viennent au
contraire lui fournir le substrat de sa création.
Sur scène, des moments d’extrême violence alternent avec des mouvements plus
lents, très doux, qui rappellent une naissance, celle d’un enfant ou bien
encore, une renaissance à la vie.
Mais le véritable moment de grâce survient lorsque l’artiste, chanteuse de
formation, se met à interpréter la chanson
Sometimes I Feel Like a Motherless Child
d’une voix magnifique, baignée d’émotions. «C’est un chant qui vient de
l’esclavage des noirs. J’interprète aussi le Kaddish de Maurice Ravel, la prière
juive des morts. Ce spectacle englobe toutes les cultures et, au fond, ce qui
parle, c’est l’être humain», de conclure la chorégraphe et
performeuse française.
Marta
Dolecki
L'express de Toronto
2006
It’s not
every day you get to see a modern dancer from Paris. Isabelle Barbat is an
expressive, mature dancer whose 60-minute elegy (Requiem for a Lone Soul) only
asks the viewer to suspend all logic and journey with her into a world of
dramatic imagery. In other words, don’t try to figure it out.
Her choreography depicts several tableaux, seeming to portray a life cycle.
Barbat’s dazzling physical control is underscored with evocative musical
excerpts by Arvo Pärt, Mahler and Ravel. A particularly poignant moment is
created as she sings an extended Kaddish (Jewish mourner’s prayer), with the
theatre’s upstage exposed brick wall transforming into a Wailing Wall.
Holly
Harris WINNIPEG FREE
PRESS
2006
The show
begins with Isabelle Barbat on the floor, lying in a spotlight about seven feet
in diameter. The darkness of it all, and the Gustav Mahler music evokes... I am
not sure, perhaps humility in the presence of God ?
Barbat begins
a floor work, taking nearly half of the show to finally rise from the boards,
all the time getting a bit higher but apparently weighed down.
The
performance then grows steadily frantic, apparently incorporating martial arts,
until finally she simply runs in a circle around the stage, building to a
climax.
The audience
isn't required to understand exactly what it all means, and that's part of the
beauty of it.
For Barbat it
seems like a personal, spiritual experience, and you can pin whatever meaning on
it you like.
For me it was
sad, beautiful and very moving.
PV
UPTOWN
MAGAZINE - WINNIPEG
2006
For 45
minutes, Grace descends upon the stage at WCD Studio Theatre.
Isabelle
Barbat stands with the statuesque beauty of a Goya painting. Her lithe, flexible
body can flow like water, yet she has the strength to pull herself up a brick
wall by her fingertips. She can move so slowly that she seems to defy the human
limits of feminine muscle, tendon, and sinew. Every movement, every gesture, the
very positioning of joint, torso, limb, and extremity, is a deliberate artistic
choice. Yet she can hurl her body at solid matter at speeds that threaten
injury.
Though billed
as a solo performer, Ms. Barbat does not dance alone. Her artistry is such that
she is partnered on stage by her very shadow, an entity that, at times, strains
for independence. Her other partner is light itself. At one point, light
explodes from the collision of her flesh with an immovable object. It took my
breath away.
Ms. Barbat
dances to the music of Arvo Part, and Mahler. Then the hall is filled with a
classically trained, operatic contralto voice singing Ravel. The transition from
recorded to live music is so smooth, you can miss it, as I did.
I would
return just to see her dance. I would return just to hear her sing. But the
experience of both in the same performance is transcendent magic.
Isabelle
Barbat's performance is worth coming 2000 kilometres.
Brian M.
Carroll from Ottawa
 dessin
Isabelle Barbat
Livre d’or
ce qu'ils ou
elles ont dit...
… Une
gestuelle et une lumière épurées : efficace.
Beau choix
musical, tout en accord avec ce lieu superbe.
Merci pour
ce moment privilégié.
… Magnifique
spectacle. Beaucoup d’émotion. Geste et voix superbe.
… Comme un
grand oiseau, un aigle. Tristesse profonde, immense émotion, voix profonde.
C’était magnifique.
… Une danse
grave et immémoriale qui m’évoque le moment où les âmes s’incarneraient dans les
corps.
Peut-on
encore parler d’interprétation tant Isabelle Barbat est son personnage.
Tantôt corps
qui se lève tantôt femme oiseau. Superbe et émouvant.
…
Magnifique, touchant, très impressionnant. Un corps, une voix sublime.
… Très
touché par une belle sincérité.
… Vous êtes
magnifique. Votre musique est magnifique. Le lieu et votre voix sonnent si vrai.
… Merci pour
ce beau moment d’embellie
… J’aurais
dit « la voix est le miroir de l’âme.
…
Extrêmement touchée par cette performance
… Très pur,
très beau. Difficile de se retrouver dans les rues d’Avignon
… Très
impressionné par la voix et la pureté du spectacle
… Une
maîtrise exceptionnelle.
…
Originalité, simplicité, splendeur, très belle mise en scène. Bravo.
… Superbe, à
voir absolument.
… Très beau,
saisissant, très généreux et expressif, très gracieux. Bravo
… Que vous
écrire, le souffle coupé, la gorge serrée… je vous remercie de toute mon âme
pour ce don de vous-même, votre implication totale dans votre travail.
Vous avez
libéré une grande émotion dans mon for intérieur.
… Beautiful control and emotion
…
Un
pur moment d’émotion, mouvement, corps et voix. Merci beaucoup.
Très beau,
une grande qualité mais j’aurais aimé voir plus la personne un peu cachée par la
mise en scène.
… Merci pour
ce moment sublime. J’ai aimé vous voir chanter de dos… Je vous trouve magnifique
sur cette scène.
… Spectacle
dur et dérangeant. Belle performance artistique.
… Une voix
formidable. Mazeltov devant le mur.
… Merci pour
ce moment d’émotion sans faille. Je quitte Avignon demain, je vous emmène avec
moi.
Bonne route,
elle va encore très loin.
… I was reliving the past 3 months coping with this new disease that will be
with me forever. It was a great great feeling realizing that it is me and I need
to be creative.
Thanks for
the inspiration.
…
Magnifique… c’est tout.
… j’ai été
atteinte au plus profond de moi. Merci. Magnifique et profondeur.
Comme
j’aimerais transcender ma douleur avec une telle beauté et une telle force.
… Un très
beau travail sur le corps.
… C’était
magnifique. Pouvoir ainsi combiner le travail du corps et de la voix avec autant
de talent est tout simplement étonnant et admirable. J’espère vous revoir au
Japon.
…
J’ai besoin de voir la beauté dans un spectacle de danse, elle était là dans ce
Requiem, merci de ce travail rigoureux et qui nous offre tant de mouvements
magnifiquement improvisés… (dirait-on !)
… Quel beau
requiem. Vous vous êtes donnée totalement, vocalement et corporellement. Dans ce
site magnifique. Quel bonheur. Merci
… J’ai
cherché dans l’espace et dans la chair jusqu’au premier détail de notre vie, la
respiration… cherche ! cherche ! toujours… Avec vous on cherche dans l’infini
d’une heure.
… C’était
formidable et impressionnant.
…
Sublimation du corps, fluidité du mouvement… Un fantastique voyage hypnotique et
envoûtant. Merci de nous offrir autant de grâce. Du grand art, noble et poétique.
Merci encore et bravo.
… Grâce et
beauté. Merci de nous emmener si loin dans ces affres incertaines.
… Merci
d’oser la sobriété, le dépouillement : c’est la vie de chaque jour et c’est
beau. Merci
… Merci pour
cette si belle voix.
… Je suis
revenue vous voir, vous recevoir ce dernier soir de festival… pour clore sur le
plus beau et pur des partages qu’il m’ait été donné de tout le mois. J’ai couru
dans le In, dans le Off, bof, etc mais garderai toujours l’empreinte de la
force… de ce spectacle, de votre profondeur. Palpite la vie.
… Merci pour
cette vision très différente du corps en pleine transformation et ce corps
amplificateur de sons et prolongement d’émotion.
… Isabelle Barbat
is incredibly talented as a singer and dancer. The performance was very
internally cohesive and music and lighting blended with dance to create a
fascinating and moving performance.
… This was an
amazing performance by a woman who seemingly moves with grace upon the stage :
her dancing draws you into her world and holds you there until the en.
Isabelle’s voice is truly incredible – even she sings to the walking wall you
feel her pain and her joy.
… Excellent
dance production. She is fluid and strong. She is graceful and bold.
… An
outstanding piece of modern dance. This dancer is extremely talented, a very
strong dancer and a wonderful singing voice.
… One of the
most interesting of modern dance pieces that I’ve seen !
Great use of lighting!
… Il n’y a aucun écrit qui puisse faire justice à ce
travail. Pas même celui du programme, pas même les mots que je voudrais écrire.
Mais croyez-moi, si vous voulez voir quelque chose de différent - oui de
vraiment différent même pour notre festival qui se veut en dehors de la norme -
alors allez voir ce spectacle !
Isabelle Barbat a un contrôle de son corps qui dépasse
parfois l’entendement et je suis souvent resté sans voix face à ce qu’elle est
capable de nous transmettre.
Je voudrais ajouter une chose : c’est probablement
l’utilisation de l’ombre et de la lumière la plus fascinante que je n’ai vue sur
scène depuis bien longtemps.
… Oeuvre stellaire !
Pièce rare et sensuelle. Originale et parfaitement
exécutée. Stupéfiant lorsqu’elle se met à chanter ! Magnifique choix musical. Du
grand art. Tout en harmonie. A voir si vous voulez quelque chose pour le coeur
et l’esprit !
… Une représentation superbe et puissante
Regarder Isabelle Barbat danser c’est comme si un tableau
du Greco prenait vie devant vos yeux ! Elle a des bras, des mains, des pieds
sublimes qui semblent s’étirer jusqu’à l’infini. Tout le corps bouge semblable à
l’eau.
Elle commence avec des mouvements très lents, ce qui
demande une grande force et endurance mais elle le fait sans aucun effort.
Par la suite, la danse devient plus rapide et plus intense
où après une course effrénée, vous pouvez finalement entendre la respiration,
celle-ci soudain se fait chant et une voix puissante emplit l’immense espace de
MTC backstage !
…
Isabelle Barbat is a master of her craft and her art. This is something
primal, of being itself, essential, deeply religious, deeply touching,
deeply beautiful. Let whatever story unfolds unfold before your eyes and
in your ears and a shiver at the dawning that it is the truth. This is a
quality that rarely comes our way.
… Her
skill and development of the physical body, and combination with voice and
movement make this a show you may want to see, but be prepared to enter a
state of meditation for the duration.
… One of the
best shows I’ve seen… Mesmerising. I do not usually like contemporary dance, but
this was different and really polished by an accomplished dancer and singer.
… This is one
of the most magnificent performance of movement in body, soul, sound, I have
experienced. It is powerful, dynamic and speaks in subtle hues to your emotional
levels. Definitely a must see ! As Isabelle Barbat brings the ways of past
worlds into our present realities with her dramatic dialogue of inner reflection
and fluid motion. Paris doit être fière.
You need to
see this show as it immortalizes those who have died in wars then and now,
parents and children who have never had a chance to live and love a normal life.
A truly inspired performance not to be missed.
I found Ms.
Barbat's performance amazing! Her versatile talents, all brought together in a
moving and riveting show. I give it 5 stars and highly recommend it!
With her
delicate movements and strong presence, Isabelle Barbat puts on an emotional
performance. Her performance was so beautiful it brought me to tears...
I was in
Edmonton in 2003 and Isabelle was on the outdoor stage performing in The Free
For All. As she only had two minutes, she opted to sing and not dance. I was
absolutely blown away by her voice and I approached her, remarking on her
talent. That lead to an invitation to her show and I was impressed by the
woman's talent. I took in this year's dance, movement, song...whatever you want
to call it performance...and I still cannot figure out how anyone can move their
body like that. She is such a treasure and I hope that she continues to visit
Winnipeg. We will be the richer for it.
La regarder est hypnotisant ! Elle semble flotter au-dessus
de la scène. Quand elle chante, vous réalisez qu’elle n’est pas seulement
élégante et gracieuse mais qu’elle a aussi une incroyable voix.
Dans un passage de la chorégraphie, elle joue avec l’ombre
et la lumière tout en dansant. L’effet est fascinant ! Une merveille !
Pourquoi donc la salle n’est-elle pas remplie jusqu’aux
combles pour chacune des représentations de la chorégraphe française ?
Le travail d’Isabelle Barbat est physique, émotionnel,
spirituel et tout en justesse.
Les aficionados du festival New Music devraient apprécier
l’aspect musical de cette production. Son interprétation de « Motherless Child »
est à couper le souffle. C’est le Cirque du Soleil mais sans l’exagération des
effets lumineux !
...Message
for Isabelle
I don't know
if you have been told already, and I'm sure that you probably don't care, but
you tied for first place in your category at the Jenny awards. Since you
weren't there, the award went to Stewart from "Zombies." The awards are
determined by the applause of your peers so winning the award shows much esteem
and appreciation from everyone involved in the festival.
I don't think
that anyone could properly articulate the awe, passion and love that we had for
your show nor could we put into words the inspiration that you have given us
all, but when they read out the name of your show, the uproar of cheers and
applause said more than words ever could. Everyone that went to see your show
has walked away with a different perspective on their life path.
"Powerful, Captivating, & Cathartic"
I know
very little about dance, but the prevailing thought I left with this
afternoon was that this show does not belong in this Festival. This was not
a show for those uninterested in looking beyond the surface, because there
was so much to see here.
Barbat
has created a piece that belongs on the stages of the Walker or the Guthrie.
Beyond that, there are very few words to describe the performance. This was
one of the few shows that I have sat through and lost track of time
completely. From the beginning to the end, Isabelle had us captivated with
her presence, which was startling and powerful. Every movement and gesture
had so much encapsulated inside it, and at the same time, it was so simple.
There were several places where I experienced an "ah ha" moment when I
suddenly realised what she was doing, and in places it moved me to tears.
The music
of Arvo Pärt and Gustav Mahler accompanied the dance... music that matched
the level of profundity that we witnessed. Each tableau explored a different
aspect of life and death, and the entire performance itself seemed to be a
representation of the life cycle. Her singing of the Kaddish was moving
beyond words. The lighting was effective and understated, adding (not
detracting) to the puissance of the message. Isabelle herself seemed to melt
at times into the story. Let's hope that she returns to the Cities soon
because this is a message that we desperately need to hear and see, and
Barbat tells it so beautifully.
"Magnificent!"
I don't know
much about dance, but loved this piece. Her movements were filled with grace
and beauty and were perfectly complimented by the musical choices. I
definitely recommend this
"Hypnotic,
moving and unique"
Ms.
Barbat's intensity and commitment to her artistic vision draws you in. Her
beautiful line, evocative use of light and shadow, and haunting voice keep
you engaged. There's nothing slick or contrived here but only raw emotion,
expressed artfully and memorably through movement and voice.
"Hypnotic, Intense, Unusual"
The
beauty of the music and dance in this powerful, intense and hypnotic one
woman show make it one that should not be missed. It is a show unlike any
other in the Festival. After 25 shows this ranks in my top three.
"Isabelle Barbat Presents"
A
wonderful dance show. Her dance technique is one that flows from her center.
Much of her show is contained in the space of a spotlight. Within the space,
is the intensity of a football field. Other reviewers didn't mention she is
a mezzo-soprano. Her vocal process is not seperate from the dance. Kaddish
is performed, facing away from the audience, as the audience sees her
diaphram contract and release.
"Incredible!"
You have
missed one of the absolute best shows of The Festival, I am sorry to say.
Isabelle Barbat is magnificent. I just stared at her grace, flexibility and
sense of timing, not to mention her gorgeous singing voice. If you know
anyone in NY, tell them to see her at the NY Festival (and also tell them to
read up on what the Kaddish is before they go).
"exceptional"
A
luminous performance by a lithe, graceful perfomer. Her depth of experience
shows in the strength and the simplicity of her presentation.
I was struck
by her strength in motion, her mature lean body, the sharply defined
features, for example, as she rises from the pool of a downlight in the
opening. the written explanation indicates the work takes on a whole world
of meaning--something far beond a requiem. Her reach exceeds her grasp--but
she takes us far and this is well worth seeing--and seeing again.
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Isabelle
Barbat
by herself
stillness is the most beautiful element of dance.
